c3 Sur le lieu du crime

Ah, vous êtes là!! On se demandait s’il fallait vous attendre encore ou non …

– Qui, nous sommes en retard mais npus avons quelque chase d’intéressant à vous raconter (хэлэх)!

– C’est vrai ou vous avez intenté quelque chose pour vous faire pardonner?

– C’est vrai, c’est vrai, venez …

J et P sont les meilleurs amis de Bruno et Ludovic. Ils ont quinze ans eux aussi. Ils habitent à Toulouse pendant toute l’année et sont dans la même classe. Ils se connaissent tous depuis l’enface.

Les jumeux racontent alors ce qu’ils ont vu et leurs amis les écoutent avec attention.

– Qu’est-ce que vous dites d’aller voir le <<lieu de crime>>? dit B.

– Bien sûr, répond P. Je suis très curiex. …

– Et si c’est dangereux? fait remarquer J.

– Si on y va tous ensemble, je pense qu’il n’y a pas de problème, propose L.

Nos quatre amis se mettent en chemin. Ils arrivent à l’endroit où B. et L. ont vu les trois hommes. Ils trouvent un passage dans haie et finissent dans un champ à moitié culvité. À un certain endroit, la terre est retournée: un trou assez grand a été creusé. Ils cherchent alors des indices.

– Regarde, L, il y a du sang! (blood) dit P. effrayé.

– C’est vrai, c’est du sang!

– Cette affaire commence à devenir dangereuse …, dit B, de plus en plus paniqué.

– Regardez … ! crie J.

– Qu’est-ce que c’est? demande Bruno.

– Une bôite d’alluettes. Il y a le nom d’un magasin écrit dessus: Boucherie Marc Duval, 16, rue de la Poste, Bourdeilles.

– C’est le seul indice que nous avons, dit L.

– Je n’aurais pas dû y toucher , j’y ai laissé mes empreinte (une trace), dit Jean.

– Ne t’inquiète pas, peut-être que ça n’a rien à voir avec les personnes qui ont creusé le trou. Cette boîte d’allumettes peut appartenir à n’importe qui (une personne quelconque) … et puis, pour l’instant, on ne sait même pas ce qui s’est passé, répond B.

– Gardons-la quand même, dit P.

Mais il se fait tard: il est déjà midi et demi (өдөр дунд) c’est l’heure de rentrer.

Écoutez, n’en parlons à personne, dit L.

Ils ont peur mais sont tous d’accord pour jouer les détectives!

Un rendez-vous

Le présent continu

sujet + être + en train de + infinitif ( -ж байна)

Aujourd’hui, on est le 12 juillet. Ils est neuf heures et demie du matin. B et L sont en train d’aller au rendez-vous à la petite plage des saules pleureurs, où ils ont rendez-vous avec leurs amis. Pour y arriver, ils parcourent un petit chemin bordé d’un côté haies très épaisses, et de l’autre d’arbres et d’arbustes épineux.

Ils sont en train de bavarder (are talking) lorsque, tout à coup, ils entendent des voix. Ils se retournent mais ils ne voient personne le long du chemin. Ils arrêtent de parler et écoutent: mais ils ne distinguent pas grand-chose. Ils se déplacent un peu, et ils trouvent finalement une partie de la haie qui est un peu moins épaisse. Ils aperçoivent trois hommes. Mais qu’est-ce qu’ils font? L’un d’entre eux est en train de travailler (are working) avec une pelle. Ils le voient bien: il doit avoir une cinquantaine d’années, il a les cheveux gris et porte des lunettes. Il y a aussi un autre homme, grand, fort, avec des cheveux noirs, une barbe et des moustaches. Le trousième est de dos: B et L nie peuveunt pas bien le voir. Ils est plus que les deux autres et a les cheveux gris. Sa voix esr très rauque.

– Tu as vu, Bruno?

– Qui, mais tais-toi, sinon on va nous voir! Essayons de comprendre ce qu’ils sont en train de faire…

Les trois hommes ont creusé un trou. Ils jettent quelque chose à l’intérieur, et le rebouchent. Les deux frères n’arrivent pas à voir, mais ils entendent quelques bribes de conversation:

– Voilà’ c’est fait!

– On peut y aller maintenant…

– Quand est-ce qu’on se voit?

– Ce soir.

– D’accord, après onze heures?

– Qui, même endroit que d’habitude.

– À ce soir.

B et L se regardent:

– Mais qu’est-ce qu’ils ont pu enterrer? Un trésor, des armes, un cadavre?

– On va voir?

– Pas tout de suite. On va raconter aux autres et on revient plus tard.

– Ok, c’est mieux …

Ils s’en vont à toute vitesse, et ils arrivent à la petite plage en moins de dix minutes. Ils veulent vite tout raconter à leurs amis!

La Plage des Saules Pleureurs

Bruno et Ludovic ont quinze ans. Ils sont jumeux et habitent à Paris. Comme tous les étés, ils vont à la campagne, dans le Périgord, passer trois seimaines de vacances chez leurs grands-parents.

Ils adorent ça. Ils se sentent libres, libres d’aller à la découverte de la nature, de vivre mille aventures, de profiter de tout ce qu’ils n’ont pas la possibilité de faire dans une grande ville comme Paris: sortir seuls jusqu’à tard le soir, jouer en plein air avec leurs amis, observer la nature, s’approcher des animaux et monter sur les arbres!

Leurs grands-parents habitent à Brantôme, dans une maison entourée d’un beu jardin. Tout autour, il y a des prés, des bois, un torrent et un petit lac où Bruno et Ludovic vont souvent se baigner.

Ce qu’ils aiment en particulier, c’est une sorte de petite plage avec de beaux saules pleureurs qui offrent une agréable fraîcheur: c’est le point de recontre préféré avec leurs copains. Au millieu des arbres, ils ont construit avec des branches une petite cabane qu’ils considèrent comme leur refuge, le lieu où ils rêvent et où ils organisent leurs <<expéditions>>!

Le matin, Bruno et Ludovic se réveillent habituellement vers neuf heures. Ils prennent leur petit-déjeuner et sortent immédiatement: pas question de faire la grasse matinée ni de perdre du temps! Cette semaine, ils vont construire une nouvelle cabane, un peu plus à l’abri du soleil. L’été, il fait très chaud dans cette région!

Presque tous les jours, ils ont rendez-vous avec leurs amis pour passer la matinée et l’après- midi ensemble. Ils rentrent chez eux vers une heure pour déjeuner et repartent aussitôt. Parfois, ils sortent même après le dîner, jusqu’à onze heures du soir!

Quelle liberté!! Ils sont toujours tristes quand arrive le moment de rentrer a Paris, mais ils ne veulent pas y penser pour l’instant: ils sont encore au dèbut de leur séjour!

Les concession

I. les adverbes

Il y a du soleil donc il fait chaud. / Нартай байгаа болхоор халуун байна.

Il y a du soleil mais il fait froid. / Нартай байгаа ч гэсэн хүйтэн байна.

Cependant

Néanmois

Pourtant

Mais … Quand même + Indicatif

Toutefois

Mais

Il y a du soleil cependant il fait froid.

Il y a du soleil pourtant il fait froid.

Il y a du soleil toutefois il fait froid.

Il y a du soleil néanmoins il fait froid.

Rappel: cependant – néanmoins – portant – mais – mais… quand même – toutefois

Il a beaucoup étudié, néanmoins, il a raté son bac.

Il a raté son bac, néanmois, il a beaucoup étudié.

Il a beaucoup étudié mais il a raté son bac quand même.

II. les conjonctions

Je suis fatigué, cependant, je ne dors pas. / би өвчтэй байгаа ч гэсэн унтаагүй.

Bien queje sois fatigué, je ne dors pas.

Je ne dors pas, bien que je sois fatigué.

Bien que + subjonctif

Quoique + subjonctif

Alors que + indicatif

Même si + indicatif

Je fais l’exercice bien qu’ilsoit difficile.

Je fais l’exercice quoiqu’ilsoit difficile.

Je fais l’exercice alors qu‘ilsoit difficile.

Je fais l’exercice même s‘ilsoit difficile.

J’ai beau être fatigué, je ne dors pas.

Je ne dors pas, j’ai beau être fatigué.

Même si je suis fatigué, je ne dors pas.

J’ai

tu as

il a beau + infinitif

nous avons

vous avez

ils on

Elle a beau réfléchir, elle ne trouve pas la solution.

Elle ne trouve pas la solution, alors qu’elle réfléchit.

Même si elle réfléchit, elle ne trouve pas la solution.

Bien qu’elle réfléchisse, elle ne trouve pas la solution.

Quoiqu’elle réfléchisse, elle ne trouve pas la solution.

III. avec les noms

Malgré la pluie, nous irons à la plage.

Malgré son enthousiasme, il ne m’a pas convaincu.

Je ne lui ai pas répondu, malgré ses nombreux appels.

En dépit de la pluie, nous irons à la plage.

Nous irons à la plage en dépit d3 la pluie.

Et malgré que?

Malgré que mon père refus, je vais aller à la fête.

Malgré le fait que mon père refuse, je vais aller à la fête.

Malgré le refus de mon père, je vais aller à la fête.

avec le adjectifs et les particifes passés

Bien que très cher, cet appartement est très petit.

Cet appartement est très cher mais très petit.

Cet appartement est très cher quoique très petit.

Үр дүн заах холбоос & нөхцөлт холбоос außer wenn, es sei denn …

I.

Folge ; folglich, demnach, somit, (Kontinuität) infolgedessen Hs+Hs

Negative Folge ; sonst, andernfalls

Beispiel;

1. Im Alltag denken viele heute schon an morgen, folglich spüren sie die Gegenwart kaum.

2. Ein Kind erlebt täglich etwas Neues, somit empfindet es die Zeit sehr intensiv.

3. Der Mensch braucht Abwechslung im Leben, sonst wird ihm langweilig.

4. Routinen lassen die Zeit schneller vergehen, demnach sollten sie vermeiden.

5. Auch mal nichts zu tunist wichtig, andernfalls kommt man seltener auf neue Ideen.

II.

es sei denn Hs+ Hs

außer wenn Hs+Ns

Beispiel

Die Zeit vergeht sehr schnell, außer wenn man jung ist. Хүн залуу байхад цаг хурдан өнгөрдөг.

Die Zeit vergeht sehr schnell, es sei denn, man ist jung. Цаг хурдан өнгөрч байна гэдэг чинь залуу байна гэсэн үг.

Grąbczewski Bronisław (1855-1926)

On był wybitny podróżnik po Azji Środkowej, generał lejtnant wojsk rosyskich. Urodził 15 I w Kowtanowie w pow. telszewskim na Litwie, w rodzinie szlacheckiej, pochodzącej z Mazowsza płockiego. Dzieciństwo spędził G. w majątku rodzinnym Krepsztach. W lutym 1863 r. ojciec jego Ludwik został aresztowany i po dłuższym uwięzieniu zesłany na Syberię. Majątek rodzinny uległ w r. 1868 przymusowej sprzedaży, a rodzinę G-go wysiedlono do Kongresówki. Po ukończeniu IV Gimnazum w Warszawie kształcił się G. w Institucie Górniczym w Petersburgu, ale go nie ukończył. Wstąpił natomiast jako ochotnik do stojącego w Warszawie pułku ułanów gwardii. Już wedy odbył pierwszą daleką podróż, mianowicie towarzyszył dyplomacie rosyjskiemu Aleksandrowi Joninowi do Ameryki Południowej. Powróciwszy z podróży złożył G. egzamin oficerski, postarał się jednak o przeniesienie do Azji Środkowej (1875). Skłoniła go do tego przede wszystkim żądza przygód i chęć poznania odległych, egzotycznych krajów, jednakże do decyzji tej przyczyniła się również obawa, by wbrew przysiędze złożonej ojcu nie być zmuszonym walczyć z rodakami, oraz przykre strony służby wojskowej w obcym mundurze, od którego stroniło społeczeństwo polskie. Przydzielony do 14. turkiestańskiego batalionu liniowego został G. adiutantem gen. Skobelewa, później gen. Witgensteina. Uczestniczył w zajęciu chanatu kokandzkiego (1876). Brał też udział w nieudanym poselstwie do Jakuba beka, w ekspedycji w góry Ałajskie (1877) i w wyprawie samarkandzkiej (1878). Porzucił jednak w stopniu porucznika służbę w armii czynnej, przeszedł do administracji i został pomocnikiem naczelnika powiatu margelańskiego (1880).

W r. 1885, jako urzędnik do szczególnych poruczeń przy gubernatorze Fergany, otrzymał misję zlustrowania wspólnie z przedstawicielami Chin granicy rosyjsko-chińskiej, w górach Tian-szan. Dzięki temu odbył podróż do Kaszgarii od sierpnia do września 1885 r. Wykonawszy swe zadanie zwiedził Kaszgarię południową, dotarł przez Jangihisar i Jarkend do Gumy i Chotanu na skraju pustyni Takla Makan. Stamtąd udał się przez Sandżu w drogę powrotną. W czasie podróży zebrał informacje o wojsku chińskim i jego dyslokazji w Kaszgarii oraz wiele wiadomości naukowych o tym kraju. Wykonał także zdjęcie marszrutowe przybytej drogi. Obszerne urzędowe sprawozdanie G-ego, pt. Otčet o poezdke v Kašgar i južnuju Kašgariju v 1885 godu, zostało wydrukowane w r. 1886 w Ferganie w 100 egzemplarzach i rozesłane do różnych instytucji wojskowych i naukowych. Ta pierwsza drukowana praca G-ego zadecydowała o dalszych jego losach. Sztab generalny rosyjski zwrócił uwagę na G-ego. Zainteresowało się nim także Rosyjskie Tow. Geograficzne. Przyznało mu ono srebrny medal za wyprawę. Zachęcony powodzeniem korzystał G. z każdej okacji, by poznać różne zakątki Fergany. W r. 1886 znów odwiedził góry Tian-Szan i dotarł do źródeł Syr-Darii. W 1888 r., z polecenia Aleksandra III, zorganizował powstanie w Afganistanie północnym, skierowane przeciw emirowi Abdurrachmanowi, a to przy pomocy pretendenta do tronu, brata emira, Ischaka chana. T. r. wyruszył w swą pierwszą wyprawę naukową. Patronowało jej Rosyjskie Tow. Geograficzne. Celem ekspedycji było zbadanie Kandżutu. W czasie tej wyprawy, która trwała 4 1/2 miesiąca i przecięła Pamir z połnocy na południe, dotarł G. do stolicy chanatu.

[Polski Słownik Biograficzny. T9. Wrocław 1960-1961]

Франц хэлний үйл үгийн төрөл,хувилал

Франц хэлний үйл үг

-er >>> é (Participe passé)

-ir >>> i

-re >>> u

3 төрөлд хуваагдана.

1. -er төгсгөлтэй үйл үг

parler ( ярих) chanter (дуулах) penser (бодох) danser (бүжиглэх) chercher (хайх ) trouver (орших) aimer (хайрлах) écouter (сонсох)

manger – идэх

je mangenous mangeons

tu manges vous mangez

il/ elle mangeIls/Elles mangent

2. -ir төгсгөлтэй үйл үг

savoir -мэдэх

je sais nous savons

tu sais vous savez

il/elle sait Ils/Elles savent

3. -re

écrire- бичих

j’écris nous écrivons

tu écris vous écrivez

il/elle écrit Ils/Elles écrivent

Was ist das Glück für mich?

Was ist Glück für mich? Das Glück ist Relativ. Verschiedene Leute leben zusammen. Deshalb viele Interessen sind in der Gesellschaft. Aufgrund des Interesse gibt es viel Glück. Das Glück ist für mich dass die Familie, die Arbeit, die Gesundheit sind.

Meine Familie ist Glück für mich. Ich freue mich weil meine Familie, meine liebe Leute mich noch nie allein lassen können. Ich bin glücklich. Wenn ich ohne sie hätte, hätte ich einen Arm man sein.

Ich finde das dass meine Arbeit für mich das Glück ist! Ich fühle mich die Freiheit von was mache ich in der Arbeit. Wenn ich Arbeitlos wär, würde ich kein Reisen und Urlaub machen, kein Geld verdienen.

Glück ist Dinge was ich habe. Wir sind glücklich. Wenn Glück einzigartig, nur ein Ding genauso Diamant wär, würde wir traurig sein. Wovon wir die Begeisterung erhalten!

Zum Schluss Glück ist die Begeisterung.